Coiffe de cuisine : la réglementation

Le monde professionnel de la cuisine est un domaine strict, surtout en termes d’hygiène. La preuve, les cuisiniers et le personnel de cuisine doivent porter des tenues bien spécifiques. La coiffe de cuisine en fait partie.

Dans cet article, découvrez les réglementations afférentes à la coiffe de cuisine.

La coiffe de cuisine : utilité et réglementation

Le port obligatoire d’une coiffe de cuisine date du 17e siècle. Notez cependant que la couleur et la taille de ce couvre-chef dépendent du rang de celui ou celle qui la porte. Aujourd’hui, les coiffes de cuisine se mettent au goût du jour pour s’adapter aux nouvelles tendances. Vous constaterez par exemple des modèles dont la forme change un peu des normes habituelles. Vous trouverez sur le site https://www.echoppe.fr une gamme variée de coiffes, toques, calots de cuisine adaptés à tous les styles et à tous les budgets.

Dans une cuisine professionnelle, la coiffe assure un rôle primordial. Elle permet essentiellement de garantir la propreté ainsi que l’hygiène des aliments. Par exemple, grâce à cet accessoire, les cheveux ne tomberont pas dans les préparations culinaires. Les coiffes de cuisine permettent même d’absorber la sueur.

Les différentes sortes de couvre-chefs en cuisine

Les couvre-chefs de cuisine se déclinent en plusieurs coloris et formes.

La toque

La toque, c’est ce couvre-chef traditionnel haut et amidonné que le chef cuisinier arbore depuis des lustres. Si auparavant, le nombre de plis et la hauteur de la toque représentaient le rang d’un cuisinier, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Ainsi, plusieurs écoles de cuisine obligent leurs élèves à porter une toque lors de l’apprentissage.

Sur le marché actuel, vous trouverez des toques en tissu qui sont généralement de couleur blanche. Les toques en papier jetables font aussi de plus en plus d’adeptes.

coiffes de cuisine

Le calot

Le calot reste de loin le couvre-chef préféré de la plupart des cuisiniers. Ce grand engouement s’explique par son côté à la fois pratique et polyvalent. En effet, le calot ne permet pas seulement d’éponger la sueur frontale. Il évite aussi les chutes de cheveux dans les préparations. Certains considèrent même que le calot est plus pratique qu’une toque dans la mesure où cette dernière exige un certain maintien de la tête. En effet, avec un calot, les cuisiniers se sentent plus libres dans leur mouvement.

La casquette

La casquette n’est autre que la version moderne du calot. Elle est tout aussi efficace, en plus d’offrir le même niveau de protection. Pour donner plus de style et de l’originalité à la tenue du personnel, certains établissements hôteliers autorisent la casquette en cuisine. Il s’agit finalement d’une coiffe professionnelle élastique permettant de retenir l’ensemble de la chevelure.

Les autres équipements obligatoires en cuisine

La coiffe n’est pas le seul équipement indispensable en cuisine. D’autres vêtements de travail viennent compléter la liste.

La veste de cuisine

Les vestes de cuisine peuvent être à manches longues ou courtes, blanches ou colorées. Pour respecter les normes en vigueur et assurer le meilleur confort au cuisinier ou à la cuisinière, la veste de cuisine doit idéalement :

  • être sans poches extérieures
  • comporter des œillets d’aération sous les bras
  • être confectionnée dans un tissu respirant labellisé oeko-tex
  • être lavable à haute température

Le pantalon de cuisine

Comme la veste, votre pantalon de cuisine doit vous permettre d’être à l’aise dans tous vos mouvements… Ensuite, à chacun son style : avec ou sans pinces, noir ou pied de poule, en tout cas élastiqué sur tout ou partie de la ceinture !

Les chaussures de cuisine

Les chaussures de cuisine doivent être fermées et antidérapantes. Utilisées dans un environnement salissant et humide, leur tige doit être de bonne qualité pour résister dans le temps à un usage intensif. Elles comportent un embout de sécurité pour préserver vos pieds d’éventuelles chutes d’objet. Pensez à vérifier leur coefficient d’adhérence pour éviter le principal risque en cuisine : la glissade !